mar. Déc 10th, 2024

Camnafaw-Minsanté : en synergie pour le bien-être des populations

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Les deux entités viennent de signer une convention visant à intensifier leur partenariat

La coopération du Ministère de la Santé publique avec les organisations de la société civile œuvrant dans le secteur de la santé n’est pas nouvelle.  La convention cadre signée ce mardi avec la Cameroon national association for family welfare ( Camnafaw), « est sans nul doute, la manifestation de la volonté du Gouvernement à travers le ministère de la Santé publique d’intensifier le partenariat et la coopération avec les organisations de la société civile sur les questions de la santé afin qu’elles participent plus activement au développement  socio-économique du pays, ainsi qu’au bien-être des populations », a confié M Edjenguele Lotin, le Directeur Exécutif de cette structure. Mais il précise surtout que « cette synergie mise en place depuis plusieurs années est un partenariat exemplaire qui nous a permis, ensemble, de réaliser d’importants chantiers dans le domaine de la santé de la reproduction ».

L’accord signé mardi 16 février n’est d’ailleurs pas le premier. « En effet, depuis 2009, un premier accord de collaboration a été signé entre les deux institutions, avec pour but de renforcer la contribution de Camnafaw en faveur d’une offre de services de qualité dans les domaines de la santé de reproduction, de la tuberculose et du Vih/Sida », a encore relevé le Directeur Exécutif de la Cameroon national association for family welfare dans son discours.

La cérémonie de ce mardi a par ailleurs donné l’occasion de voir l’étendue de l’accompagnement et du soutien permanent offerts à la Cameroon national association for family welfare par le ministère de la Santé publique. On peut citer entre autres matérialisation de cet apport, le projet de renforcement des capacités de 1000 prestataires en insertion implantation NXT ; le plaidoyer pour l’avancement du plan d’action de Maputo ; le programme d’accès aux services de la santé de la reproduction mis en place avec la collaboration de l’Acms dans la région de l’Est, pour ne citer que ceux-là.

Alfred Epacka 

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